Nylon Bar

L'apéritif en nylon


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Le Boss à Paris – L’intégrale

Fin janvier, je suis allé à Paris pour diverses raisons. Au jour le jour, j’avais posté des petits articles qui résumaient mes petites aventures côté nylon, celles qui vous intéressent en priorité, j’imagine. Sous un seul et même article, j’ai réunis ces articles en les complétant par une vidéo, et cerise sur la gâteau, quelques souvenirs photographiques de ma rencontre avec Miss Nylon, article initialement publié sur BNMR.

Ach Paris, les bedites vemmes, comme dit dans un film

Arrivé sur le coup de midi avec 25 minutes de retard, merci la SNCF.  2 fois un arrêt en rase campagne, l’un pour une histoire d’aiguillage sûrement plus gelé que le contrôler, diable on est encore le matin, l’autre on sait pas, peut-être un pingouin qui partait en vacances dans le sud.

Bien sûr, la première chose c’est d’aller repérer l’endroit où le Boss va poser sa tête sur l’oreiller pour rêver à de nouvelles aventures où les bas nylons défilent comme à la parade du 14 juillet, devant le général Leboss. Premier point positif, l’endroit retenu est tout à fait charmant, option prise via Airbnb. En fait c’est la propriétaire des lieux qui met à disposition son appartement pour arrondir ses fins de mois. Intéressante personne très cultivée, une ancienne pro des voyages. Son studio est un véritable musée, des centaines de bouquins et d’objets ramenés de ses voyages. Et en plus elle a l’air de s’y connaître en musique, alors…

Aussitôt ma valise déposée, j’ai filé faire mon petit tour dans la ville dans cette ambiance que je connais depuis longtemps, j’y viens depuis 30 ans. De belles dames, aux jambes parfois ennylonnées, mais je n’ai pas aperçu la moindre lisière de bas, faut dire que j’ai pas vraiment cherché, j’essayerai de me rattraper plus tard, et qui sait, vous filer un petit instantané pris sur le vif, mais sans forcer l’indiscrétion, c’est pas mon genre.

Voilà pour ce premier billet parisien, tiens c’est la première fois que j’en fait un sur place,alors à bientôt pour de nouvelles aventures.

PS

Même le Boss bien parisien n’a pas la cervelle qui tourne au ralenti, quelques petites constatations made in Paris

Je crois bien que l’accordéon rend aveugle, j’en vu plusieurs aveugles en jouer

Les jeunes à Paris sont à l’évidence très fatigues et les vieux très alertes. Scène plusieurs fois constatée dans le métro où les jeunes sont assis et les vieux debout.

A Paris il y a deux catégories de fumeurs, ceux qui ont du feu et pas de cigarettes, ceux qui ont des cigarettes et pas de feu

En attendant,…

Ce qui j’ai vu…

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Et ce que j’aurais voulu voir…

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Alors aujourd’hui après une grasse matinée bien méritée, je me suis enfin levé pour passer à table dans un bistrot de quartier. Au menu une salade aux lardons, j’adore ça, suivie d’un filet à l’échalotte. On est bien dans la cuisine française populaire, ce qui n’est pas pour me déplaire. Cet après-midi, j’ai décidé d’aller faire les bouquinistes sur les berges de la Seine. Ce gens admirables. qui vous vendent dix fois plus cher ce que l’on arrive pas à vendre aux puces dix fois moins cher, sont quand même pour la plupart bien sympathiques. Reconnaissons quand même qu’il y en a parmi eux qui sont de véritables connaisseurs et qui vous proposent d’authentiques raretés. Je n’ai pas trouvé mon bonheur mais tant pis, je me suis bien promené et je dois avoir fait au moins une dizaine de mètres au kilo, ceux-là tout à fait gratuits. Je suis remonté en direction de la rue Saint-Denis, la rue qui me replonge toujours dans les barricades des Misérables de Victor Hugo, qui est peut-être mon histoire préférée. Je revois toujours le film dans la version avec Jean Gabin, celle que je préfère pour les acteurs qui tiennent l’affiche. Blier en infect Javert, Bourvil dans l’un de ses grands méchants rôles, sans oublier la belle Sylvia Monfort, la rousse incendiaire  et une grande actrice. Je passe sur Reggiani, Esposito, Delorme et quelques autres…

La chasse au nylon ne fut pas des plus fructueuses, mais un peu mieux qu’hier. Une paire d’auto-fixants sur le Pont des Arts, mais oui celui avec les cadenas. Une lisière de bas sur une Orientale, une authentique vision de jarretelle, mais bon c’était sur une prostituée rue Saint-Denis, alors ça compte pas. J’ai quand même vu une nana habillée année 50 avec des bas à coutures et hauts talons vers le Forum des Halles. Bémol, elle le faisait avec autant d’aisance qu’un éléphant qui dansait le sirtaki. C’en était presque ridicule. J’en connais d’autres qui font ça tout naturellement.

Le Boss a toujours les méninges qui travaillent alors constations du jour…

Il me semble que la politesse des gens dans la rue s’est bien améliorée, malgré ce que l’on veut bien en dire. Depuis 30 ans que je connais Paris, je me souviens des premières fois où le touriste comptait pour du menu fretin. Des excusez quand on vous bouscule involontairement, même de la part des jeunes, des au-revoir et merci quand vous quittez un restaurant, il y en a. Même qu’une hôtesse des Galeries Lafayette, m’a salué quand je quittais les lieux.

Par contre la RATP, ça va moins bien. Au Châtelet, bien qu’ayant un ticket de métro tout à fait valable, le portail ne fonctionnait pas. Je n’étais pas le seul à pester. Enfin un qui s’ouvre. Arrivé au beau milieu, le voilà qui se referme brusquement me coinçant comme un con entre les deux montants. Heureusement que j’avais pas le cou tendu en avant, sinon couic! J’ignorais que la guillotine avait été réintroduite pour les touristes, le pire sans jugement. Heureusement un mec derrière m’a dépanné en mettant son ticket et en passant rapide comme l’éclair avant qu’il se referme. Merci ami inconnu.

Je viens de mettre le nez à la fenêtre, m… il pleut.et le vent souffle.Bien au chaud dans mon petit coin je bouge pas!

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Les fameux auto-fixants sur le Pont des Arts. Heureusement mon appareil avec optique Leica est très bon,clquez vous verrez en grand, pas mal non? Cette photo a été prise à environ 5 mètres. Enfer et damnation ce bas est filé, mais c’est un des avantages du bas, il n’est pas nécessaire de changer le tout 50% suffisent. Madame, si vous vous reconnaissez, je vous offre une paire complète. Attention quand même, je sais à certains détails détails avec qui vous étiez. Je ne veux pas recevoir 147 mails  disant que c’est moi.

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Celle-là c’est pas moi qui l’ai prise, mais elle est bien sympathique. Prise il y a sans doute longtemps par un amoureux des bas, peut-être mon grand-père.

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J’ai toujours adoré cette maison, pas gêné par le voisin d’à coté

Et bien sûr, ce que je n’ai pas vu et que….

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Après un concert samedi soir,  je poursuis mes petites pérégrinations dans la belle ville de Paris, enfin c’est pas mal, n’exagérons rien non plus.

Aujourd’hui je suis parti muni de mon appareil de photos que l’on pourrait surnommer l’indiscret. Pour chasser de belles jambes et si possible des bas, il faut évidemment sortir des petites rues désertes. Alors j’ai choisi la Tour Eiffel, cet endroit bien connu des touristes. Pas mal de monde, de toutes les couleurs, viennent admirer ce tas ferraille, plus ou moins agencé artistiquement, rêve de Mr Eiffel qui voulait jouer au meccano, pour rattraper celui que ses parents ne lui avait pas offert à Noël.

Tout en poussant des oh et des ah, chacun contemple l’édifice et sort son appareil de photo. Le Boss a sorti le sien, mais il recherche des autres monuments à immortaliser, rien à voir avec la mécanique terrestre qui grimpe à l’assaut du ciel. Pour passer inaperçu dans ce genre d’endroit, il faut photographier comme n’importe quel cornichon. J’ai l’appareil à la main, mais peu de gens s’imaginent que le zoom qui l’équipe permet de lire la marque d’une montre à quelques mètres. De plus, il a un viseur amovible, ce qui permet de photographier sans le mettre à portée d’oeil.

Cela commence par un joli coup de porreau, une des premières dames que je suis par hasard porte de bas, c’est visible par les petites bosses qui marquent sa jupe quand le tissu est tendu au bon endroit. C’est surement de la jarretelle standard à bon marché, mais le fait est qu’elle en porte… jarretelles ha ha ha! Le fait sera confirmé qu’elle porte bien des bas quand elle escaladera un mur pour se faire photographier par son copain. Toutes les photos qui suivent sont prises à une distance de 7-10 mètres.

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Voici la demoiselle en question, elle porte bien des bas, mais c’est pas très visible

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Le même, mais regardez bien à droite

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Là vous voyez mieux maintenant?

Pour s’amuser quelques photos de jambes prises au hasard, des collants très certainement, mais il montre les possibilités de l’appareil avant de voir le cas intéressant suivant.

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On est à la Tour Eiffel, rappel pour ceux qui croiraient être à Notre Dame

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Vous remarquerez qu’elle a un grain de beauté à droite sur la jambe gauche

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Quand j’ai pris la photo, je ne voyais même pas les motifs du collant

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Un chien qui fait ça, on pense qu’il va faire pipi, la dame je sais pas

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Spécial pour les fétichistes hauts talons, même photo mais agrandie

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Première photo avec zoom moyen

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Même sujet plus zoomé, c’est plus pâle, mais on voit très bien les détails

Venons en au deuxième cas intéressant, une jeune fille avec son copain, des slaves probablement. Elle a profité de l’air de Paris pour se mettre aux bas à coutures. j’hésitais entre bas et collants quand elle s’est assise sur le mur. A partir de là, cela devenait un peu plus visible. Sûrement des bas attachés très hauts, en rapport avec la longueur de la jupe. Je n’ai pas pu prendre de photo qui le montre, mais par contre les coutures, alors là, une bien belle prise.

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Petit détail amusant, pourquoi j’appelle mon appareil l’indiscret, en agrandissant la photo, on remarque l’ombre de la couture sur la jambe, le soleil était derrière à gauche. Il en loupe pas une.

Voilà, tout ceci est le spectacle de la rue, vu avec un autre regard. J’ai fixé sur les photos ce que mes yeux ont vu ou les vôtres auraient pu voir. En matière de voyeurisme, je n’aime pas forcer le destin, mais si on veut bien m’offrir ceci ou cela sur un plateau, alors j’en profite.

Le fait du jour

En matière de voyeurisme je ne suis pas le seul. En début de soirée sur les Champs, je suis allé faire quelques achats. Là on trouve tout ouvert ou presque. Je peux dire que j’ai voyeuré un voyeur en quelque sorte. Deux dames BCBG, sortent d’une boutique alors que j’étais arrêté en train de fumer une cigarette. L’une d’elles a visiblement ce qui doit être une lisière de bas qui dépasse de sa robe, une seule, ce qui peut effectivement faire penser à des bas. Très honnêtement, elle n’avait pas un physique affolant, des jambes quelconques. Je n’ai pas même pas envisagé de la suivre. Je roulais un peu sur les jantes, la jauge du réservoir clignotait, la boîte à vitesses grinçait. Mais voilà un mec, un Arabe dans la quarantaine, qui fixait intensément les jambes de la dame, se met à suivre et… moi aussi. Pendant une bonne dizaines de minutes, il a calqué ses pas sur celui des dames, faisant semblant de s’intéresser à des articles pour bébés, des souvenirs en plastique véritable, ne manquait plus qu’un étalage de charcutier. Dès que possible, il revenait sur le sujet qui le préoccupait réellement, la lisière de bas. Finalement, il est reparti quand les dames sont entrées dans un immeuble ou visiblement, il n’avait rien à y faire. A mon avis, c’était un amateur, plutôt un zmateur, car je sais très bien que dans ce genre de cas, on est sûr de rien, le spectacle est rikiki et le reste aussi. Amusant quand même.

Un des points les plus plaisants de mon séjour fut mon déjeuner avec Miss Nylon. On se connaît depuis pas mal de temps, mais cette fois-ci, il me fallait concrétiser sa collaboration avec moi pour les projets futurs que nous réaliserons en collaboration. Venue avec son photographe, un pote lui-aussi et qui a l’oeil à la bonne place derrière le viseur, nous avons tiré quelques plans sur la comète, une comète qui promet d’être bien brillante. Et bien sûr, je ne pouvais que lui demander d’être une ambassadrice de mes blogs, titre amplement mérité car de toutes les adeptes que je connais, c’est bien elle qui affiche  le bas nylon comme une seconde peau.

Nous avons improvisé une petite séance photo pour mes visiteurs. Nous vous en offrons quelques clichés.

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Eh oui, à paris en vélo, en moto, vous dépasserez peut-être Miss Nylon!

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Des bas en moto, à cette saison, c’est bien Miss Nylon, aucun doute!

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Dans le métier de Boss, il y a des instants charmants!

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Un petit jeu maintenant qui pourrait s’appeler « vous reconnaissez-vous? ». J’ai surpris ce couple dans une rue de Paris. Madame portait visiblement des bas à coutures. Dégainant mon téléphone, muni plutôt d’une bonne caméra, j’ai fait un petit film, encore le spectacle de la rue. Le monde étant petit, il se pourrait que ce couple se reconnaisse, même qu’ils fassent partie de mes visiteurs.  Alors si c’est le cas, eh bien qu’ils s’annoncent, il pourrait y avoir une surprise à la clef. Bien c’est facile à première vue, n’importe qui peut s’annoncer. Eh bien non, il faudra qu’ils me précisent dans quel arrondissement ils se promenaient, la rue, et dans quel genre de magasins ils sont entrés. Je ne sais pas s’il y aura des gagnants, mais on peut toujours essayer. Bien sûr les visages ne sont pas visibles, sinon je n’aurais pas mis ce petit bout de film en ligne.

 

 

 


2 Commentaires

Nylon paparazzi (10)

Sans doute avez-vous entendu parler de Siné, c’est un dessinateur-humoriste-anarchiste à la longue carrière, de plus de 80 ans. Il est toujours en activité dans le mensuel qu’il a fondé, Sinémensuel. Si le journal se veut satirique, ce n’est pas sans raison au vu de l’esprit de son fondateur. Dans chaque numéro, il a l’habitude d’écrire un éditorial à la main où il casse bien volontiers du bois sur le dos des travers de nos chers politiciens et autres actes de la vie moderne. Dans le numéro de mars j’ai relevé un passage où il parle de spots publicitaires, qu’il trouve pas ailleurs nuls, à une exception toutefois, voyez laquelle…

C’est peut-être un visiteur de mon blog, dans ce cas bienvenue mon cher Siné, tu y trouveras matière à méditation!

Les cas d’observations nylonesques commencent à se faire rares, c’est la saison qui veut ça, il faudra s’y faire. Quand une belle observation me passe sous le nez, j’ai parfois regretté de ne pas avoir du matériel de qualité pour en saisir un petit souvenir. J’ai depuis rattrapé ce retard avec une caméra de super qualité qui permet de filmer assez discrètement. Je ne vais pas aller la glisser sous les jupes des dames comme certains, je suis bien trop respectueux de la femme pour cela, mais pour immortaliser ce qu’elle veut bien montrer. Remarquez que si elle m’en donne l’autorisation, je ne vais pas me gêner. Mais comme elle abordent rarement un écriteau avec la mention « il est autorisé de filmer sous mes jupes », je ne vais sans doute pas ramener grand chose de ce côté là. Tout récemment,  j’ai fait une petite balade avec ma caméra enclenchée dans les rues d’une charmante petite ville où j’ai quand même aperçu deux dames qui portaient des collants, enfin je suppose. J’en ai extrait des photos, juste pour vous montrer ce qu’il est possible de faire avec ce matériel. Des jambes anonymes, qui passaient par là.

Je regrette d’autant plus de ne pas avoir eu mon matériel un mois en arrière, car j’ai fait une magnifique observation. J’aurais pu en ramener un joli souvenir, tellement la chose était visible. Cela se passe dans un brocante ou j’étais à la recherche des nouvelles vieilles choses.  Je farfouillais dans les stands quand j’ai remarqué une dame dans la quarantaine qui venait dans ma direction. Elle avait les jambes couvertes de nylon noir et une jupe assez courte. Je remis à plus tard la consultation du livre que j’avais dans les mains pour me consacrer entièrement au spectacle. Bien m’en pris car selon les balancements de sa jupe un peu montée sur ressorts, il m’apparut bien vite qu’elle portait des bas. Non seulement je voyais la lisière, mais également la peau de ses jambes en dessus par intermittence. Je n’eus aucune peine à mettre un nom dessus, elle portait des Dim Up qui se reconnaissent assez facilement aux reflets argentés que forme le silicone sous la dentelle et à leur dessin particulier. C’est dire si cette observation était facile, j’en étais presque vexé, tout en étant fortement charmé. Je pense que la guêpe n’était pas tout à fait inconsciente du spectacle qu’elle offrait. Il me semblait qu’elle se penchait fort à propos sur les rayons quand elle me savait derrière, m’offrant une vue encore plus étendue. Ah si j’avais eu ma caméra!


La suivante entre dans le visions tout à fait inattendues, même pas recherchées. C’est même grâce à un chien que j’ai pu admirer un spectacle, bref mais joli. Une jeune demoiselle stationnait avec son toutou, 50 centimètres de haut sur pattes, à l’entrée d’un centre commercial. Plutôt jolie, une jupe moyennement longue et plutôt ample, des jambes en nylon noir. Assise sur une sorte de pierre qui pouvait aussi servir de siège, en face de moi, elle fumait une clope. Le chien, jusque là sagement assis sur son popotin, manifesta un désir de caresses et une envie de faire joujou. Sa patronne s’assit par terre, pour être disons à sa hauteur. Ne se sentant plus de joie, le chien entreprit de lui lécher le visage avec une langue bien baveuse. Sans doute pour éviter ce contact trop direct, la demoiselle recula sa tête en direction du sol. Ce faisant, elle ramena ses jambes, jusque là étendues à plat  sur le sol, contre elle. Ce qui devait arriver arriva. Elle m’offrit, et tout ça gratuitement, une vision des plus charmantes sous sa jupe. Un slip coquin tout noir et pourtant il n’avait rien bu, mais surtout de magnifiques bas jarretières, dont je n’aurais pas trop soupçonné l’existence au vu de la personnalité de la dame. La preuve que l’habit ne fait pas la nonne. Bien vite, elle se releva n’ayant visiblement plus trop envie de jouer à montrer ses dessous aux passants. Un après-midi de chien, c’est le titre d’un film, je crois. Eh bien, je peux déjà vous dire que j’ai vu un remake pas mal du tout!

Je ne résiste pas à revenir sur quelques pubs qui nous rappellent une glorieuse époque, celle où la lingerie qui n’avait pas de prétention coquine s’étalait dans les pages des journaux. Comme celle-ci, pour un magasin charmant qui s’appelait « le Panier Fleuri », tout un programme!

Ou encore celle-ci qui date de la fin des années 60, dans laquelle on solde porte-jarretelles et bas avec une sensible réduction de prix.